Illustration : Modèle Médical avec Médicaments naturels 3Mn+++ : la seule manière de sauver 10 mille patients !!!
Pour la vue globale – 5 années d’alerte – sur la question des phages et de la phagothérapie voir Alerte survie
En bref :
1. Chaque année les bactéries qui se moquent des antibiotiques tuent des milliers de Français – 12 mille selon une étude très officielle.
2. Depuis la nuit des temps, les humains tuent les bactéries avec des phages.
En 1917, à l’Institut Pasteur, cette pratique est baptisée phagothérapie.
3. Jusque vers 1980, des phages sont disponibles en pharmacie.
4. Comme les bactéries sont d’une créativité sans limite, il faut récolter les phages à l’endroit où le patient a été infecté, c’est à dire dans les eaux usées de l’hôpital.
Les récolter, les cultiver, filtrer et administrer – pour cultiver, une yaourtière suffit !!!
5. C’est facile, économique et sans effets secondaires.
6. Les ministres de la santé successifs – Touraine, Buzyn, Véran, etc. – bloquent l’usage des phages.
7. Ce n’est pas une situation isolée puisque l’aromathérapie, la phytothérapie et la Médecine intégrative sont aussi bloquées contre les avis des experts du monde entier – OMS, Jim O’Neil, etc. (1)
Sans aucune raison, on laisse crever, amputer ou invalider des milliers de Français.
Voici l’opus de Juillet 2022 où l’ANSM parle d’elle à la troisième personne !!!
En italique, le texte intégral de l’ANSM suivi de mes 10 traductions.
Phagothérapie : l’ANSM autorise un accès compassionnel pour des bactériophages dans les infections ostéo-articulaires
Afin de permettre aux patients qui ne peuvent pas participer à un essai clinique d’accéder à la phagothérapie dans un cadre sécurisé, nous autorisons désormais l’accès compassionnel (AAC) …
Traduction 1 :
1. Nous – ANSM = Ministre = Macron – refusons le fait que la phagothérapie soit une pratique maîtrisée.
2. Nous refusons de faire le travail scientifique idoine = créer un centre de soin-recherche dans chaque Hôpital universitaire pour récolter des phages efficaces qui sont dans les eaux usées de l’hôpital et ainsi améliorer éventuellement les méthodes connues.
3. Alors nous inventons un truc énorme nommé AAC.
… accès compassionnel (AAC) à deux bactériophages anti-Staphylococcus aureus (PP1493 et PP1815), pour le traitement d’infections osseuses et ostéo-articulaires graves documentées à Staphylococcus aureus.
Traduction :
« Compassionnel » et « grave » veut dire qu’au lieu de traiter le patient par les phages dès que l’on a vu que la bactérie se moque de tous les antibiotiques, on laisse pourrir le patient !!!
Les bactériophages sont des virus qui pourraient représenter une approche complémentaire à l’antibiothérapie pour traiter des patients en impasse thérapeutique dans le contexte préoccupant de l’antibiorésistance.
Traduction 2 :
Nous – ANSM = Ministre = Macron – refusons de dire que, si les bactéries sont résistantes – antibiorésistance – c’est parce que tout le système médical français – a fait n’importe quoi avec les antibiotiques depuis 80 ans malgré les avertissement de Fleming en 1941 !!!
Les bactériophages ne sont pas du tout complémentaires aux antibiotiques.
Une bouée de sauvetage n’est pas complémentaire ! Une ceinture de sécurité n’est pas complémentaire !
Les bactériophages sont la solution quasi unique – avec l’aromathérapie et la phytothérapie dans certains cas – pour sauver des milliers de patients.
Le concept d’impasse thérapeutique implique l’hégémonie du modèle avec antibiotique : c’est insoutenable !!!
Si l’on applique les phages à l’instant de la découverte de l’antibiorésistance, c’est juste de la thérapie.
En effet, ils possèdent la particularité d’infecter uniquement des bactéries et leur utilisation à visée thérapeutique repose sur un mécanisme de lyse bactérienne. Des essais cliniques doivent toutefois être menés pour apporter la démonstration de leur efficacité.
Traduction 3 :
Dans un corps humain, il y a plus de bactéries que de cellules – multiples microbiomes de l’intestin, de la bouche, du vagin, etc.
Dans le corps du Ministre de la Santé, chaque jour, les phages tuent l’excédent de bactéries.
Si le Ministre est vivant ,c’est que les phages sont redoutablement efficaces.
La démonstration de l’efficacité des phages est faite – chaque jour – dans le corps de chaque Français.
A ce jour, aucun médicament contenant des bactériophages ne dispose d’autorisation de mise sur le marché (AMM) dans l’Union européenne ni aux Etats-Unis.
Un phage n’a rien à voir avec un médicament.
C’est juste un délire absolu de Bruxelles – suivi par Paris – de décider que les phages sont des médicaments pour en empêcher l’usage local normal – récolter, cultiver, filtrer, administrer.
Dans ce contexte, nous avons autorisé l’essai clinique PhagoDAIR I qui devrait prochainement débuter et d’autres essais cliniques viendront compléter cette recherche.
Les essais cliniques et les autorisations d’accès compassionnel peuvent être mis en place car ces bactériophages sont désormais produits et contrôlés selon les standards de qualité équivalents à ceux requis pour tous les médicaments expérimentaux.
Traduction 4 :
On accepte servilement le DIKTAT de Bruxelles et l’on dépense des fortunes dans des essais cliniques totalement inutiles.
Nous en avons parlé pour le projet Phag One.
Dans quelles situations ces bactériophages anti-Staphylococcus aureus (PP1493 et PP1815) peuvent-ils être utilisés ?
Ces deux bactériophages sont indiqués chez l’adulte et l’adolescent dans le traitement des infections osseuses et ostéo-articulaires graves documentées à Staphylococcus aureus, lorsque le pronostic vital ou fonctionnel est engagé, et en situation d’impasse thérapeutique, en application locale ou en injection in situ.
Traduction 5 :
Si c’est un enfant, on le laisse crever ou on l’ampute !!! Voir Diana & co
« lorsque le pronostic vital ou fonctionnel est engagé » = on laisse pourrir le patient !!!
Le recours aux bactériophages dans le cadre de l’AAC pourra être considéré pour des patients qui ne peuvent pas participer à un essai clinique (PhagoDAIR I étant le seul essai clinique autorisé en France à ce jour).
Traduction 6 :
Il devrait y avoir une unité de phagothérapie dans chaque Hôpital universitaire !!!
Pour soigner 10 mille patients.
Pas deux ou trois patients en « mauvais bricolage » à l’Hôpital de la Croix Rousse à Lyon.
Attention ! Seul le Ministère est responsable de la situation de « mauvais bricolage ».
Les médecins préfèreraient utiliser les phages Tranquillement, Souvent, Vite et Bien !!!
Quelles sont les conditions à respecter ?
L’utilisation de ces bactériophages est réservée à l’usage hospitalier et soumise à une procédure de surveillance étroite de la part de l’ANSM par le biais d’un protocole d’utilisation thérapeutique et de recueil de données d’utilisation et de sécurité.
Traduction 7 :
On ne fait pas confiance aux médecins et pharmaciens de la Croix Rousse !!!
On les harcèle avec des procédures au lieu de les laisser sauver des patients.
« une procédure de surveillance » est une bouffonnerie : les patients commandent des phages par Internet et un-e technicien-ne de laboratoire sait cultiver des phages avec une yaourtière !!!
Consulter le PUT d’AAC Bactériophages anti-Staphylococcus aureus PP1493, solution injectable et Bactériophages anti-Staphylococcus aureus PP1815, solution injectable (09/06/2022)
Chaque demande de prescription devra être validée par un avis collégial donné par un centre de référence des infections ostéo-articulaires complexes (Crioac).
Cela tiendra compte du résultat d’un phagogramme qui est à réaliser obligatoirement pour tester l’activité de chaque bactériophage sur la bactérie responsable de l’infection.
Traduction 8 :
Chez chaque patient, il y a une bactérie spécifique attrapée dans un endroit spécifique – l’hôpital le plus souvent.
Le phage idoine est dans les eaux usées de l’hôpital.
Le phage récolté à Bruxelles où ailleurs a de bonnes chances d’être inefficace.
Phagogramme négatif = patient mort, amputé, invalidé !!!
A savoir
Les CRIOAC, composés d’équipes pluridisciplinaires spécialisés dans la prise en charge des infections ostéo-articulaires, sont répartis sur tout le territoire national. Ils seront les garants de la validation thérapeutique des demandes d’ACC de bactériophages.
Traduction 9 :
Où est le rapport qui montre que les médecins des CRIOAC ont été correctement formés ?
Qui a formé les médecins au changement de paradigme nécessaire pour soigner avec les phages ?
Les bactériophages PP1493 et PP1815 devront être utilisés en association pour limiter le risque de résistance. Des données en vie réelle seront recueillies pour enrichir le suivi et les connaissances sur ces médicaments.
Traduction 10 :
La vraie association efficace c’est celle avec l’aromathérapie, la phytothérapie et la Médecine intégrée cartésienne.
Le Ministère de la Santé ne veut surtout pas de ce changement de paradigme alors que le monde entier est dans ce changement de paradigme.
Notes
(1) Voir les résultats pour la requête Google « médecine intégrative » + OMS, c’est édifiant !!!
2 réflexions sur “Phages 2022 : soigner 10 patients quand il y en a 10 mille à soigner !”